Fin janvier 1877, il apprend qu’il est atteint de la syphilis, avant d’en mourir, celle-ci lui empoisonnera la vie. Son aversion pour la société ainsi que sa maladie le pousse vers la retraite, la solitude et la méditation. Mais cela ne l'empêchera pas de lier des amitiés avec des célébrités littéraire de son temps comme Alexandre Dumas fils et il tombera même sous le charme du philosophe de l’historien philosophe Taine rencontré à Aix les Bains. Il restera ami avec Zola et Tourgueniev, mais il s’éloignera des Goncourt.
Son frère se fera interné une première fois en 1887, puis une seconde fois en 1889 où il y mourra en novembre.
Durant ses dernières années, l’amour de la solitude le gagnera, mais aussi la paranoïa dut certainement à des prédispostions dût à sa famille car sa mère était dépressive et son frère est mort fou, mais aussi dût à sa maladie contracté durant ses jeunes années.
Dans la nuit du 1er au 2 janvier 1892, il fait une tentative de suicide au pistolet mais les balles ayant été enlevé par son domestique François Tassart, il cassa sa fenêtre et tenta de s’ouvrir la gorge, il sera interné le 6 janvier dans la clinique du docteur Emile Blanche, où il meurt de paralysie générale un mois avant son 43ème anniversaire le 6 juillet 1893, après 18 mois d’inconscience presque totale.
Sur l’acte de décès figure la mention né à Sotteville près d’Yvetot ce qui ouvre la polémique sur son lieu de naissance.
Il est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris.
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